La réalité du terrain :
Nos équipes commerciales dans leur ensemble, quel que soit le secteur d’activités (Invest – Neuf – Location – Viager – Marché secondaire d’occupation) ou la localisation géographique démontrent le même état d’esprit positif : d’un côté des acquéreurs qui sont revenus en masse et d’autre part des propriétaires prêts à vendre et ainsi équilibrer le marché.
Quelques chiffres viennent étayer cette perception :
- Le niveau de la demande : le nombre de demandes hebdomadaires se trouve strictement au même niveau qu’en février pour tous nos départements.
- Volume de transactions : après un pic les trois premières semaines qui ont suivi le déconfinement, nous retrouvons un volume de vente parfaitement comparable aux deux premiers mois de l’année 2020.
- Niveau de prix : nos experts délivrent leurs évaluations dans la continuité des valeurs qui ont été appliquées fin 2019, début 2020. Les valeurs transformées en prix de vente sur les biens que nous mettons en commercialisation entraînent des ventes à court terme démontrant leur fiabilité et leur concordance aux attentes du marché.
- Niveau de l’offre : nous sommes aujourd’hui en volume, strictement au même niveau d’offres (maisons, appartements, terrains, immeubles de rapport, villas) que la moyenne des mois de janvier et février 2020.
Et maintenant ?
Notre prochain indice au 30 septembre sera très intéressant à découvrir car il permettra de confirmer la bonne tenue du marché que nous observons jusqu’ici. Nous observerons les paramètres essentiels à savoir : la situation économique et donc de l’emploi, l’évolution des taux hypothécaires (un facteur clé) et enfin l’offre sur le marché. Nous vous rappelons que nous avons, à multiples reprises, attiré l’attention de tout un chacun sur la raréfaction de l’offre de biens neufs et du déséquilibre qui en résultait : d’un côté d’une montée des prix, sur le segment « entrée de gamme », dans le marché secondaire, et d’autre part, une augmentation des loyers puisque les investisseurs ne pourront pas mettre de nouveaux biens sur le marché (le marché neuf est composé essentiellement d’investisseurs privés).
Enfin, il est intéressant de noter que selon nos dernières informations, les taux d’intérêt devraient repartir à la baisse. Ce sera certainement un élément essentiel à la bonne tenue du marché.
Conclusion
Alors que nos Cassandres habituelles avaient prédit le pire parlant même d’une baisse de prix de 10% en 2020, force est de constater qu’aujourd’hui, il n’en n’est rien et nous sommes face à un marché d’une stabilité remarquable. S’il est probable que certains segments de marché continuent à sous-performer (nous pensons notamment au Retail, certains segments du marché CORPORATE), il nous semble acquis aujourd’hui que la grande majorité des biens du marché résidentiel conserveront leur niveau qui était le leur avant la crise sanitaire.
Ne met-on pas ainsi le doigt sur l’élément clé qui captive autant les investisseurs privés que les acheteurs occupants : la capacité de prémunir son capital contre les aléas les plus divers. La crise financière de 2008 n’avait pas réussi à déboulonner le marché résidentiel de son piédestal.
Il semblerait que cette fois le virus COVID 19 n’y arrivera pas non plus.
Voilà pourquoi nous continuerons à préconiser l’acquisition immobilière car elle permet la constitution d’un actif solide, pérenne et puissant bénéficiant d’un levier d’emprunt maximisant les rendements.
Rendez-vous dans 3 mois pour vérifier si les éléments positifs se sont bien confirmés !